Trois jours chez ma mère

Le dernier prix Goncourt est au premier abord un parcours long et pénible dans la psychanalyse de foire et l’érudition de comptoir.

Souvent disgressif et barbant, nombriliste, le roman tourne en rond et devient par moment un véritable calvaire, véritable ode au name-dropping si cher à cet insupportable Vincent Delerm. Pourtant, autant le début et le milieu était l’apanage d’une mauvaise cuvée type « prix littéraire », le final s’avère incontestablement réussi et brillant.

Etonnant !

François Weyergans, Trois jours chez ma mère

 

 

Cette entrée a été publiée dans Lire, avec comme mot(s)-clef(s) . Vous pouvez la mettre en favoris avec ce permalien.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *