« Mon ambition est de redonner son prestige à l’Etat social en le remettant au service de l’intérêt général. Je trouve assez stupéfiant qu’une certaine gauche s’insurge contre la nécessité de combattre les déficits et de réduire la dette nationale. Une nation endettée n’est pas une nation libre, ni une nation digne. C’est une nation qui se met à la merci des marchés financiers ».
Jose Socrates, Premier Ministre (Socialiste) du Portugal.