Pensée parasite

Lever difficile, regard par la fenêtre. Dégoût, gris –again – et le ciel bas  est pointillé de grésil et de neige fondante.

Radio, les grandes affaires du siècle sont sans surprises, monotonie, connerie humaine déclinée à l’infini.

Bureau, soupirs, courrier, courriels et factures s’empilent. L’administration des affaires encore et encore.

Une pensée parasite pointe le bout du nez à l’écoute d’une publicité radiophonique « Il pleut, ben oui », « Mon fils a raté un examen, ça arrive », « Elle a oublié mon rendez-vous, et bien on en prendra un autre ». Je n’ai ni mémorisé le produit ou service concerné, encore moins l’annonceur mais un petit rayon de soleil parasite est entré dans ma journée…

 

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